Articles relativement récents.
Ils ont été reconnus personnages de l'année 2014 dans le Val de Nauze.
Mercredi 21 janvier, à la Maison des producteurs, grâce à l'amabilité du président Dominique Franc et d'Angèle Salem, la vendeuse de ce comptoir, les cinq personnages promus Personnages de l'année 2014 de es blogs Val de Nauze, Les nervures & reliefs de la Nauze et Fongauffier-sur-Nauze se sont retrouvés pour le souvenir photographique de cette consultation des internautes.
Sabine Vialle a apporté la galette offerte par Carrefour Market de Siorac largement appréciée par tous.
Francette Lozano, Dominique Desplain, Christian Léothier, Claudine Le Barbier, Auguste da Costa, Wielfried Biancuzzi et Hugo Bourgeois.
Un petit regret. Les propositions pour les jeunes auraient pu être plus fournies car seul le nom d'une jeune fille, Mathilde Cabannat, fut suggéré par les internautes. Ce déficit de propositions amena à limiter la sélection jeune. La consultation, heureusement boostée par la réactivité de Bernard Malhache dans la presse, est devenue plus crédible car les internautes n'y avaient pas adhéré spontanément.
Le choix des internautes n'a pas à être infléchi mais on peut, néanmoins, regretter que Marie-Noëlle Faure qui s'est démenée pour tant de causes n'ait pas impacté davantage.
Francette Lozano, une bénévole de toutes les causes ne pouvait échapper à la considération de ses concitoyens. Sa cadette Dominique Desplain, elle aussi, par son bénévolat, a été remarquée dans bien des animations locales et, in fine, pour l'action caritative du Téléthon. Wielfried Biancuzzi, président du foot a été très bien placé par les internautes. Auguste da Costa a engrangé un joli capital de sympathies ; grâce à son passé de sapeur-pompier mais aussi par ses amitiés sportives.
Hugo Bourgeois a été plébiscité, le jour de la rentrée scolaire, vraisemblablement grâce à ses qualités équestres ; mais pas seulement. Il a certainement "fait un tabac" chez ses camarades qui savent qu'il est champion d'Aquitaine, saut d'obstacles, champion départemental individuel et au championnat de France par équipe, avec Manon et Flavie, ses soeurs, il emporta la médaille de bronze.
D'autres profils du Val de Nauze ont été pointés par les internautes mais n'ont pas pu porter sur la plus haute marche. Citons Marie-Noëlle Faure, pour ses missions caritatives, et René Barde pour la fête médiévale. Tous les bénévoles reconnus n'ont, en aucune manière, démérité. Certains n'ont obtenu aucun "clic". Cela s'explique parfaitement parce que les internautes ne pouvaient voter qu'une seule fois par catégorie. Si, après sa réunion d'avril, les blogs perdurent il faudra, l'an prochain, réitérer cette action en lui donnant plus de relief mais toujours en maintenant le cap sur le désintéressement et sur la vie citoyenne du bassin de la Nauze. Espérons que des profils méritants non proposés cette année dans le milieu associatif, sportif, culturel et, surtout, caritatif remonteront en 2016.
Christian Léothier a félicité ses administrés reconnus par les internautes et a regretté qu'Hugo Bourgeois n'ait pas été associé aux Trophées sportifs de 2014. Claudine Le Barbier a profité de cette micro-manifestation pour souligner le désintéressement du bénévolat. Elle pense qu'à l'avenir, après la création des nouveaux cantons, plus que jamais, les maires seront les interlocuteurs privilégiés de la population.
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Demain. Si la matrice des internautes du Val de Nauze nous était contée.
En cours.
Retour sur la loge charbonnière de Vielvic. Contribution de Bernard Malache.
Les élections départementales approchent.
La vie associative avec "Détente et partage" à Siorac.
Deux très jeunes cousines monplaisanaises musiciennes prodiges.
Claudine Le Barbier répond, en trois épisodes, à 12 questions... pas très faciles.
Michel Rafalovic ; l'homme qui réunit les deux rives de la Dordogne.
Jeanne Laborderie a fêté ses cent ans.
BELVÈS
Jeanne Laborderie, une résidente de l'EHPAD, naquit le 21 janvier 1915, à Vincennes. Son père travaillait dans les transports en communs parisiens et sa mère couturière a arrêté de travailler pour s’occuper de ses trois filles dont Jeanne était la cadette. Les Laborderie ont fait construire leur pavillon à Montreuil-sous-Bois.
Toute jeune elle a appris le violon et a gardé un goût pour la musique classique mais également pour la lecture
Après l’obtenu le "Brevet des collèges" et réussi lors de plusieurs concours elle a été secrétaire puis sous-directrice du dispensaire Savattero à Montreuil.
Jeune fille elle allait avec sa mère et ses sœurs à Paris, au musée et au théâtre.
La permission de bal lui fut accordée, accompagnée par sa maman bien sûr, 2 ou 3 fois par an.
Sa mère était originaire du Périgord où la famille se rendait pour les vacances plusieurs fois par an.
Jeanne Laborderie a rencontré son mari, originaire de Périgueux, grâce à la complicité d’une tante,
Son époux était dans l’enseignement. Après l'hyménée le ménage s’installa à Vincennes et eut deux fils ; Pierre et Jacques.
Tous deux aimaient les voyages et après avoir acheté une maison à Mouzens, d’abord pour venir en vacances, plusieurs fois par an, ils décidèrent de s’y installer pour leur retraite.
Ce 21 janvier ses deux fils et belle-filles, ses 6 petits enfants et ses 17 arrières petits enfants, avec fierté et affection, lui ont souhaité un bon anniversaire pour ses 100 printemps.
La cérémonie fut superbement organisée par l'EHPAD. Tour à tour les maires de Mouzens et de Belvès ont pris la parole et ce fut à Jeanne de conclure.
Photos Pierre Fabre.
Le concert du nouvel an d'Entrée des artistes.
Concert du duo COARDA
Nadine THOMASSIN à l’accordéon
et Bernard Emmanuel GUIDI au violon
Le dimanche 25 janvier 2015, à 16 heures,
en l’église de Belvès
Le duo COARDA
Le duo est né de la rencontre entre Nadine THOMASSIN , accordéoniste et Bernard Emmanuel GUIDI, violoniste, tous deux musiciens enseignants.
Le duo Coarda désirant explorer différents style musicaux et donner un éclairage nouveau par la transcription d’œuvres du répertoire propose de rassembler des publics de divers horizons.
Aussi, il offre un programme allant de la musique traditionnelle (irlandaise, des pays de l’Est) à les compositeurs tels que : Angélis, Bach, Bloch, Massenet, Paganini, Piazzola …
Contact : leduo-coarda@laposte.net
Nadine THOMASSIN
Nadine Thomassin débute la musique à 9 ans avec l’accordéon et très tôt se passionne pour les multiples possibilités musicales de cet instrument.
Elle participe aux concours de l’Union Nationale des Accordéonistes de France, se perfectionne dans plusieurs écoles de musique, avec des professeurs de renom, et obtient une médaille d’or en 1998 à l’Ecole Nationale de Musique de
De 1989 à 1995, elle s’inscrit au Conservatoire National de Région de Bordeaux dans les classes de Formation Musicale, Harmonie et Analyse Musicale et commence l’enseignement de l’accordéon et de
À la rentrée 1998, elle intègre l’équipe enseignante de l’Ecole Municipale de Musique de Bergerac, puis également celle du Conservatoire à Rayonnement Départemental de
Bernard Emmanuel GUIDI
Bernard Emmanuel Guidi commence le violon à 4 ans et reçoit les bases d’un enseignement rigoureux. Sa formation se poursuit au Conservatoire National de Région de Nice puis, à l’Académie de Musique de Jérusalem. Il obtient un premier prix de violon au Conservatoire National de Région de Bordeaux.
Parallèlement, il joue dans l’Orchestre Franco-Allemand des jeunes, l’Orchestre du Grand Théâtre de Bordeaux, l’Ensemble Instrumental de
Après une longue maladie, il reprend son violon, l’enseignement, et, est à l’initiative de la création du duo Coarda.
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En instance :
- Les personnages de l'année réunis à la Maison des producteurs pour la galette.
- Jeanne Laborderie, centenaire, fêtée à la Maison de retraite.
- Samedi Jean-Matthieu Clot dédicacera, samedi, son premier ouvrage sur les Wisigoths à la librairie de Belvès.
- Deux très jeunes cousines Monplaisanaises émerveillent les mélomanes.
- Pour éviter la concomitance des 100 km la réunion annuelle des blogueurs avancée au 17 avril.
- Un lecteur du blog présente une excellente suggestion.
Fongauffier aurait besoin de coussins berlinois.
Fort heureusement les accidents de piétons, à Fongauffier, demeurent limités. Ils sont toujours regrettables et le dernier accident grave a conduit un Fongauffiérain, pour une longue période, à l'hôpital. On a cependant en mémoire un accident mortel, très vraisemblablement imputable à la vitesse, qui emporta un jeune automobiliste il y a une vingtaine d'années.
L'entrée du village se prête facilement, pour cerains conducteurs peu respectueueux du code de la route, à la tentation d'excès de vitesse.
La vitesse, à Fongauffier, a sérieusement été réduite depuis la mise en place, il y a près de 15 ans, du rond-point. Il paraît difficile d'arriver à grande vitesse à Fongauffier grâce à cet ouvrage cependant certains conducteurs, venant de Siorac, réduisent leur vitesse un peu tardivement tandis que d'autres, en sens inverse, ont tendance à reprendre bien rapidement un rythme excessif.
Rappelons, que dans les années 50, la vitesse à Fongauffier était limitée à
Un conducteur qui roule à
Imaginons une traversée du village à
Les photos [Pierre Fabre] ci-dessus montent bien la traçabilité aléatoire des passages protégés.
Notons que la traçabilité au sol des passages protégés est devenue plus qu'évanescente. Il n'y a pas de trottoirs fiables sur toute la traversée du bourg.
Il se dit que divers travaux importants, au niveau de
Qu'il soit permis de proposer une solution citoyenne économique et fiable ; l'implantation de coussins berlinois.
Le coussin berlinois [http://fr.wikipedia.org/wiki/Coussin_berlinois] est un dispositif destiné à ralentir la vitesse des automobiles sans gêner les autres usagers de la chaussée. Pour cela, il est suffisamment étroit, pour permettre aux cyclistes de passer à droite et aux autobus de passer par-dessus sans le toucher avec leurs roues, mais suffisamment large pour que les voitures doivent au moins faire passer une roue dessus.
Les coussins berlinois sont notamment utilisés pour faire respecter les zones 30.
On les appelle « berlinois » car ils ont été expérimentés pour la première fois à Berlin, ville qui a classé près de 70 % de ses voies en zone 30.
Bon anniversaire René.
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Aujourd'hui, 21 janvier, date tragique, en 1793, pour la dynastie capétienne des Bourbons, est aussi une date heureuse de 1944, mais beaucoup moins connue, dans la micro petite histoire sagelacoise. C'est en effet ce jour là que naquit, sur le flanc collinaire oriental de Pessarni, René Lafon, mon meilleur ami.
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L'an dernier, avec quelques condisciples communs, nous avons imaginé un singulier guet apens, à la salle des fêtes, pour saluer son admission dans le club des septuagénaires. Le piège fonctionna à merveille tout comme il avait réussi quelques semaines avant pour notre ami Bernard Grenier.
Un petit trait simple vient de s'ajouter. Bon anniversaire René.